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Van Cleef & Arpels Lady Arpels Ballerines Musicales

Van Cleef & Arpels Lady Arpels Ballerines Musicales

L’enchantement du ballet au poignet

13 janvier 2021

Alliant à la quête d’excellence le goût du beau et de l’harmonie, Van Cleef & Arpels puise dans la danse une infinie source d’inspiration, renouvelée au fil des décennies. L’art du ballet insuffle ainsi un élan de grâce à trois nouvelles montres inscrites dans la vision du Temps Poétique propre à la Maison. Les créations Lady Arpels Ballerines Musicales mêlent pour la première fois la musique et le mouvement afin de donner vie à une véritable expérience sonore et visuelle. Dans la tradition d’excellence de Van Cleef & Arpels, chaque montre conjugue prouesses horlogères, métiers d’art et savoir-faire joailliers pour recréer l’enchantement de la danse et de la musique à l’échelle du poignet.

À la croisée des arts

 
L’histoire qui lie Van Cleef & Arpels à l’univers de la danse remonte aux années 1920 à Paris. Louis Arpels, passionné de ballet, aimait alors emmener son neveu Claude à l’opéra Garnier, à quelques pas de la boutique de la place Vendôme. Les premiers clips ballerines de la Maison voient le jour au début des années 1940, et deviennent bientôt l’une des signatures de Van Cleef & Arpels. Leurs postures aériennes et la beauté de leurs costumes séduisent rapidement les collectionneurs. Dotées d’un visage en or ou en diamant taille rose rehaussé d’une coiffe précieuse, elles s’habillent de pointes et d’un tutu en diamants ou pierres de couleur, épousant leur mouvement.


Ces affinités avec le monde du ballet se renforcent lorsque Claude Arpels fait la connaissance dans les années 1950 du célèbre chorégraphe George Balanchine, cofondateur du New York City Ballet. De leur passion commune pour les pierres naît une complicité artistique qui donne lieu au ballet de Balanchine Joyaux, présenté pour la première fois à New York en avril 1967. Le triptyque non-narratif associe chacun de ses actes à une gemme et à un compositeur : Gabriel Fauré pour Émeraudes, Igor Stravinski pour Rubis et Piotr Ilitch Tchaïkovski pour Diamants.

Pierre Arpels, la ballerine Suzanne Farrell et le chorégraphe George Balanchine, vers 1976 BALANCHINE est une marque du George Balanchine Trust.
Pierre Arpels, la ballerine Suzanne Farrell et le chorégraphe George Balanchine, vers 1976
BALANCHINE est une marque du George Balanchine Trust.
 

La magie de la scène


Pour susciter l’émerveillement qu’inspire le ballet, Van Cleef & Arpels a recréé les jeux de profondeur d’une véritable scène de théâtre. Une coiffe de diamants esquisse un lustre étincelant et de précieux rideaux, illuminant le cadran. Ce dernier est mis en couleurs grâce aux métiers d’art chers à la Maison : des draperies sculptées, gravées et peintes à la main dévoilent les ballerines aériennes en peinture miniature.


Chaque pièce présente une association de pierres et de motifs propre, en écho aux trois chapitres de Joyaux. La montre Lady Arpels Ballerine Musicale Émeraude se pare de nuances vertes tandis que la montre Lady Arpels Ballerine Musicale Rubis met à l’honneur d’élégantes tonalités de rouge. La montre Lady Arpels Ballerine Musicale Diamant brille intensément, dans des tons blancs, bleus et or. Sur la couronne supérieure de chaque création, une pierre précieuse fait écho au cadran.


L’histoire se poursuit au dos de la boîte grâce à un travail de gravure en relief. Ce dernier figure une ballerine dansant devant les vitrines de la boutique Van Cleef & Arpels de la Fifth Avenue, à New York, là où Claude Arpels accueillit George Balanchine en 1966 pour lui présenter les créations de la Maison.

Montre Lady Arpels Ballerine Musicale Émeraude


  • Boîte en or blanc de 44,5 mm de diamètre sertie de diamants, lunette en or blanc sertie de diamants et couronnes en or blanc serties d’une émeraude et de diamants
  • Cadran en or blanc sculpté, diamants, peinture miniature
  • Bracelet interchangeable en alligator vert brillant, boucle déployante interchangeable en or blanc sertie de diamants
  • Mouvement mécanique à remontage manuel, fonction heures/minutes rétrograde, animation musique à la demande, réserve de marche 54 heures
  • Édition numérotée

Montre Lady Arpels Ballerine Musicale Rubis


  • Boîte en or blanc de 44,5 mm de diamètre sertie de diamants, lunette en or blanc sertie de diamants et couronnes en or blanc serties d’un rubis et de diamants
  • Cadran en or blanc sculpté, diamants, peinture miniature
  • Bracelet interchangeable en alligator lie-de-vin brillant, boucle déployante interchangeable en or blanc sertie de diamants
  • Mouvement mécanique à remontage manuel, fonction heures/minutes rétrograde, animation musique à la demande, réserve de marche 54 heures
  • Édition numérotée

Montre Lady Arpels Ballerine Musicale Diamant


  • Boîte en or blanc de 44,5 mm de diamètre sertie de diamants, lunette en or blanc sertie de diamants et couronnes en or blanc serties de diamants
  • Cadran en or blanc sculpté, diamants, peinture miniature
  • Bracelet interchangeable en alligator gris anthracite brillant, boucle déployante interchangeable en or blanc sertie de diamants
  • Mouvement mécanique à remontage manuel, fonction heures/minutes rétrograde, animation musique à la demande, réserve de marche 54 heures
  • Édition numérotée

La poésie du mouvement et de la musique


Rejoignant la collection Complications Poétiques, ces trois nouvelles créations évoquent chacune l’un des chapitres de Joyaux, recréant la poésie des costumes et de la musique grâce à une animation visuelle et musicale. Lorsque le cadran prend vie et que les notes se font entendre, l’œil et l’oreille sont comme transportés dans un monde de ballet.


À la demande, le cadran s’anime : le rideau s’efface pour faire place à cinq ballerines, dont les tutus et les couleurs rappellent les écoles de ballet et les gemmes ayant inspiré George Balanchine. Simultanément à cette scène, la musique retentit. Grâce à une véritable prouesse technique, les mélodies des différentes parties sont jouées par deux instruments aux sonorités cristallines : une boîte à musique et un carillon. La combinaison et l’harmonisation inédites de ces éléments musicaux permettent ainsi à l’oreille de reconnaître les thèmes de Gabriel Fauré, Igor Stravinski et Piotr Ilitch Tchaïkovski.


Le boîtier de la montre amplifie les sons issus de la boîte à musique et du carillon et laisse s’échapper la musique à travers le pavage de diamants savamment étudié. Pour accentuer l’expérience sonore, chaque montre s’accompagne d’un coffret en marqueterie de bouleau et noyer, conçu en partenariat avec des luthiers et acousticiens et doté d’un amplificateur électronique.


Né il y a une dizaine d’années, ce projet a notamment nécessité sept années de développement pour le mouvement mécanique à remontage manuel et son animation à la demande. Perpétuant une tradition chère à la Maison, les montres accueillent également une fonction rétrograde pour la lecture de l’heure. Sur le haut du cadran, une étoile – hommage aux danseuses dites « étoiles » – indique le passage du temps sur une échelle graduée de 12 heures.

La combinaison inédite de deux instruments de musique


La boîte à musique se compose d’un clavier à dix lames, soulevées par des picots situés sur la face cachée du disque rotatif de l’animation visuelle. À cela s’ajoutent les quatre timbres du carillon, frappés par autant de marteaux. Les deux instruments ont dû être minutieusement accordés, comme le serait un piano, afin de s’assurer de la justesse des mélodies, durant de 20 à 25 secondes.


Afin de respecter le rythme de chaque mélodie, un système de régulation par force centrifuge assure sa bonne vitesse lorsqu’elle est jouée, quelle que soit la réserve disponible dans le barillet d’animation. Le morceau peut ainsi être écouté trois fois d’affilée tout en conservant sa qualité mélodique.

L’alliance des savoir-faire


À la prouesse technique de faire jouer deux instruments distincts au sein d’un boîtier horloger, Van Cleef & Arpels a conjugué le défi de reprendre les mélodies complexes de trois thèmes musicaux : Pelléas et Mélisande, Op. 80 de Gabriel Fauré (1898), Capriccio pour piano et orchestre d’Igor Stravinski (1929) et la Symphonie n°3 de Piotr Illitch Tchaïkovski (1875). Afin de simplifier les partitions orchestrales et les adapter à deux instruments seulement, la Maison a travaillé en étroite collaboration avec Michel Tirabosco. Ce musicien concertiste suisse, né à Rome et notamment réputé pour sa maîtrise de la flûte de pan, a suivi de près le développement des créations.


Au cœur de chacune d’entre elles, la richesse des tonalités du carillon et de la boîte à musique transmet l’harmonie des mélodies avec exactitude et finesse. Par exemple, le mouvement de la montre Lady Arpels Ballerine Musicale Rubis retranscrit le morceau de Stravinski en pas moins de 92 notes : 69 jouées grâce au clavier, et 23 par le carillon.

Le Temps Poétique


Perpétuant depuis sa création une vision poétique de la vie, Van Cleef & Arpels a introduit en horlogerie une dimension qui lui est propre : celle du rêve et de l’émotion. Alliance d’inventivité et d’onirisme, ses créations interprètent la mesure du temps comme un appel à l’imaginaire, au voyage et à l’émerveillement.

Afin de traduire la poésie de chaque instant, la Maison puise dans son histoire et ses sources d’inspiration emblématiques. Aux créations inscrites dans le patrimoine de Van Cleef & Arpels s’ajoutent de nouvelles histoires d’amour et de chance. Fées et ballerines égrènent les heures, tandis que le rythme de la nature côtoie celui du cosmos. Issue des différentes collections horlogères, chaque pièce raconte un moment de grâce et d’enchantement.

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